Yuki, village de la neige

Ryôgi suivis Jika, jusqu'aux portes du village de la neige, a cet endroit, ils s'arrêtèrent, et Jika lui posa une question, d'un ton plutôt sérieux, il répondis:

"J'ai déjà connu l'horreur de la guerre, et je ne veux en aucun cas que cela ne se reproduise, les pertes qu'elles engendrent sont trop grandes."

Ryôgi serra le poing, puis dis, avec conviction:

"Je serais toujours fidèle a ce beau village qu'est Iwa, et je suivrais son kage jusqu'à la mort. Avec le but d'être dans un monde en paix."

Ryôgi regarda le ciel... Il commençais a neiger.

Jyosen regarda longuement Byakura devant lui. De très longues minutes passèrent pour Jika à regarder son compagnon dans le profond de ses yeux. Il n'y voyait qu'une chose. Alors il sourit.


"Et bien dans ce cas je vais te dire une chose. Tes yeux te reflètent clairement et tes paroles vont avec ton regard. Mais c'est en regardant plus loin encore qque j'y ai vu autre chose. Tu n'es qu'un chuunin mais tu es désormais mon bras et je te voue une entière confiance comme je vous une confiance à tout les villageaois et ninjas d'Iwa. Tu es désormais mon arme et tu es une partie de ma pensée. Je sais que tu ne me décevras pas. Allons-y. Et aussi... Appele moi Jyo. J'ai horreur des familiarité.


Jyo lui fit un grand sourire puis se dirigea vers les portes tout en exliquant l'opération à son compagnon.


"Ecoute moi bien. Tu tombes à pic car je n'avais pas prévu ça. Je suis le Kage d'Iwa, Yuki doit me recevoir dans de bonnes conditions , moi et mes comppagnons de voyage. J'irais réler quelque choses avec notre ami le Kage d'ici. Toi tu va dans le quartier pauvre et tu demande Ruonn Sarion. On se retrouvera après."


Les portes s'ouvrirent et les mines accueillantes bien que sceptiques des gardes laissaient envisager le bon déroulement des opérations. Jyo indiqua une direction à Byakura puis se dirigea vers le Quartier général.


[Hrp: avant de répondre si tu as msn donne le moi sinon je te demanderais ceci sur le forum d'iwa.]

Ryôgi était heureux de son nouveau grade, mais devais quand même s'en montrer digne, pour lui et tout les villageois d'Iwa.

"Merci beaucoup, Jyo. Je tacherais de me montrer digne de votre confiance."

Après avoir dis ces mots, il décida de se diriger vers l'endroit indiqué par son kage, pour trouver ce certain "Ruonn Sarion"

Ryôgi se déplaça dans le village, qui étais d'une extrême beauté un paysage qu'on ne verrais que dans les comptes de fées, de la neige partout, tout était recouvert d'une fine couche de neige. Mais de la beauté singulière de ce paysage, Ryôgi allais passer dans un paysage tout autre: Les quartiers pauvres.
L'endroit était très sombre, et il y sentais plutôt mauvais. Ryôgi se dirigeais vers la première maison qu'il voyais, et encore, maison était un mot bien fort. Les gens le regardais avec beaucoup de crainte, et de colère, certainement. Il essaya de ne pas y faire attention, et de continuer son chemin. La pauvreté était flagrante, le visage de ces personnes étaient très affaiblis, et la plupart étaient certainement affamés, le contraste entre les deux paysages l'effraya presque. Cela lui rappelais les malheurs de la guerre, la famine et le froid...

"Oh mon dieu..."

Ryôgi vis une forme a peu près humaine au sol, qui était recouverte de neige. Il s'accroupis, et enleva un peu de neige de cette forme affalée au sol. Comme il le craignais, c'était bel et bien un cadavre gelé... Il se leva rapidement, et continua sa route, on ne pouvais plus rien faire de celui-ci. Ryôgi entra dans cette "maison". Il ouvris lentement la porte, regardant a gauche et...:

"Qui êtes vous?"

Ryôgi leva les main, lentement un homme pointa sa lance sous son cou, prêt a l'égorger...

"Je n'ai pas l'habitude a me présenter a quelqu'un qui ne prend même pas la peine a le faire..."

L'homme effleura la gorge de Ryôgi, mais il garda son sang-froid. Le villageois céda, en posa sa lame sur sa table.

"On m'appele Ruonn Sarion, je suis un simple villageois, je ne vois pas ce que vous venez faire ici, je n'ai rien a cacher, vous savez...?"

Ryôgi s'approcha de lui, un peu plus a l'aise et dis:

"On m'appele Ryôgi, et je suis ici sur ordre du kage du village d'Iwa."

Le visage de Ruonn changea d'expression, il était plus inquiet. Il ferma la porte, et s'approcha d'un tiroir, dans lequel il pris un paquet.

"Tenez, je sais pas si le kage vous a mis au courant de ce qu'il allais faire avec, mais moi, je ne veux plus garder ca, ça risquerais de me poser des problèmes, vous voyez..."

Ryôgi pris le paquet, qui était un peu plus gros qu'un livre, et se dirigea vers la sortie, a la porte, il dis:.

"D'accord, je lui demanderais..."

Ryôgi sortis de la maison, puis s'approcha du bâtiment ou devais être Jika...

"Je vois. C'est facheux."
"Vous croyez? Mais en tout cas, c'en est fini de vous seigneur Jyosen, kage d'Iwa ! Vous pouvez dire adieu à votre vilage ! Ambu ! Terrassez cet homme !"
"Sur?"


Jyosen sourit. Il savait que ça allait finir comme ça. C'est incroyable ce que l'esprit de certaines personnes est facile à sonder. Les ambus n'eurent le temps de le prendre. Un kage n'est pas facile à piéger. Quoique celui de Yuki, peut-être un peu stupide, ne vit pas venir l'action suicidaire de Jyo.
Au sol des débris de fenêtres et un grand rire qui se rapprochait. Puis de l'eau. Des jets d'eaux, sortant brutalement du sol. Et marchait sur eux un homme. Il s'arréta sur un jet d'eau, à plus de 10 mètres du sol. Puis il attendit que le jet retombe progressivement. Il vit son homme un peu plus loin amusé. Il courut vers lui et se retourna vers la fenètre brisé de la tour de yuki et cria.


"Et puis merci encore ! Je la garde bien précieusement ! Et le pire, c'est que tu ne peux rien prouver ! Car se faire voler un objet issu d'un vol... Est-ce que l'on peut vraiment dire que c'est grave? Ouah ah ah ahi (moqueur)! Byakura ! Tu l'as? Alors on court !"


Puis il fonça tête baissée vers la sortie de Yuki avec son compagnon, peu avant que les portes de Yuki ne se referment sur eux.


Direction --> Plaines.

"On court?!?"

Ryôgi ne savais pas trop ce qu'il se passait, mais il pensais bien que ce n'était rien de bon. Il s'empressa de suivre Jika, en courant a grande vitesse.

"Mais... C'est quoi ce bordel?!?"

Ryôgi décida de pas réfléchir, se concentrant sur sa course.

[Sort~~>Les plaines]

Laviel arriva après un long périple de plusieurs jours devant le massif enneigé où résidait le village de la neige, Yuki. Laviel prit le soin de cacher son Katana dans un parchemin puis s'habilla chaudement pour traverser avec courage la tempête de neige qui protégeait le village de Yuki en continuité. Il s'imbiba de graisse d'ours polaire nauséabond pour masquer son odeur et pour tenir son corps à une température convenable. Il marcha hasardeusement pas à pas dans cette tempête qui amplifiait à chacun de ses mouvements. Après une bonne heure de marche, Laviel butta dans une porte d'une taille massivement impressionnante et comprit aussitôt qu'il était arrivé à bon port, il vit alors 10 gardes en tout, deux derrière la potes prêt à surgir le premier arrivant, quatre sur les bords de la muraille scrutant avec intention et malice la vaste étendu où la tempête faisait rage, deux autres sur un poste en haut de la porte et enfin deux autres qui faisait la ronde en dehors de la muraille sur un périmètre précis. Laviel profita de la séparation des deux soldats lors de la ronde pour en tué un sèchement en lui tranchant la gorge au Kunaï, Il prit alors ses vêtements et prit son apparence à l'aide d'un jutsu. Il se rendit devant la porte à l'heure où les deux soldats devaient faire leur bilan l'un à l'autre, le soldat arriva et demanda.

- Alors, tu as vu quelque chose ?
- Non absolument rien, et toi ?
- Rien non plus, juste un ours traînant et mourant de faim.
- Ok, dit moi je suis souffrant ai-je l'autorisation de rentré dans ma case ?
- Hum, qu'as-tu ?
- Des vertiges sans doute dû à la fraicheur de cette tempête dont je ne me suis pas encore habituer.
- Nous sommes des soldats, alors tes vertiges de pacotille tu te les garde. Il y a vraiment des jours où la fainéantise te guète.
- Oui, excuse-moi.
- Tâche de ne pas recommencer à l'avenir.
- Bien, je retourne faire ma ronde.
- De même, bonne chance.

Le soldat esquissa un sourire malicieux puis rigola en partant sur le chemin de la ronde. Laviel comprit que les soldats ici étaient tous fort mentalement et physique et qu'ils étaient soumis à des exigences strictes, il ne lui restait plus qu'un moyen pour pénétré dans le village sans se faire remarquer : Attendre le moment où les soldats intervertissent leur rôle à chacun. Laviel fit trois rondes avant qu'un soldat fit sonné un lourd et étrange instrument servant de signal aux soldats. Tout les soldats se sont rejoins près de la porte à l'intérieur du village puis distribué les rôles de chacun, Laviel profita de se moment pour s'infiltrer finement dans le village en laissant un clone faire le soldat à sa place. Arrivant dans le village Laviel fut surpris, il ne vit aucune maison. Il n'y avait que des collines recouverte d'épaisse couche de neige mais pourtant dans le village il n'y avait ni tempête ni nuage indiquant la tomber de la neige. Laviel marcha en se dissimulant sous une épaisse couche de neige faisant mine d'être du décors. Il rempa puis butta dans un mur, il comprit alors que les maisons étaient tous sous la neige ! Il décida alors de continué son chemin vers la plus grosse colline qui devait être sûrement le Q.G. du village, il s'y déplaça astucieusement puis entra dans le bâtiment après avoir effacé ses traces. Il y entra dans une petite fenêtre à gauche du bâtiment où il y avait sans doute des provisions. Il marcha silencieusement puis vit une porte au fond de la salle, il y alla puis à peine avait-il ouvert à moitié la porte que 5 soldats surgirent des caisses Laviel sortit alors en une fraction de seconde un Tantô qui était sous sa veste en cas de besoin et l'utilisa avec un Kunaï pour vaincre ses ennemis. Il en supprima un d'un coup de Shurinken dans l'épaule gauche et droite et le bloqua à l'aide d'une technique raïton paralysante. Il s'occupa alors des autres et les tua un à un, sans très grande difficulté seulement un Kunaï parvint à surgir en direction de Laviel que celui-ci détourna. Le combat terminer, il remit les soldats dans les caisses et masqua le sang. Les soldats étaient vraiment coriace et puissant, ce village était vraiment dangereux. Il alla ensuite auprès du soldat qu'il avait immobilisé puis lui posa des questions.

- Comment avez-vous su que je m'étais infiltré dans ce bâtiment ?
- Je n'ai rien à dire.
- Je vois, je n'ai pas de temps à perdre donc tu es prévenu, soit tu me dit où se trouve le bureau du Kage et comment m'avez eu, soit je te tuerai d'un coup sec.
- Tss, tu ne trouveras jamais notre système et encore moins le Kage pauvre fou.
- Tu as fait ton choix.

Laviel ne pouvait pas se permettre de ne lui soustraire aucune information, il tenta alors une technique d'hypnose mais en vint, les soldats étaient vraiment très puissant mentalement. N'ayant plus le choix il le tua. Laviel cacha le corps puis sortit à l'aide de la porte et arriva dans un grand couloir avec au bout un escalier, il y courut puis le prit et arriva au deuxième étage. D'après son estimation à l'oeil nu, le bâtiment devait faire quatre étage. Il arriva au deuxième étage qui était vide, Laviel se méfia puis parcouru de nouveau un couloir puis arrivé à un escalier qui le mena au troisième étage. Laviel se posa des questions du fait que ses couloirs soient vide, il activa alors ses pupilles pourpre et regarda autour de lui et vit que ce bâtiment n'était pas un Genjutsu et qu'il n'y avait pas de soldat, il continua son chemin et arriva enfin au quatrième étage mais là, il y avait 10 soldats paraissant plus puissant que les précédents, là et faisait barrage. Derrière eux se trouvait une porte, sans doute celle du Kage. Laviel sortit alors du parchemin son Katana Berthyl, recula puis lança une violente lame de chakra pourpre déchiquetant le sol, trois soldats mirent leurs mains droite ensemble en lancèrent un justsu de défence qui généra un dôme de glace stoppant la lame de chakra, Berthyl effectua plusieurs signes et invoqua Raîso, la lance de foudre qui vint détruire le dôme, il effectua à nouveau des signes et lança sur le sol une vague aqueuse projetant les soldats, ensuite Laviel profita du moment de l'humidité de la pièce dû à sa technique et lança un Chidori sur le sol, l'eau servit de conducteur à la foudre du Chidori et vint électrocuter les soldats. Il continua son chemin vers la porte puis l'ouvrit et vit avec stupeur une salle vide avec un papier sur la table.

" Bonjour cher ninja du village de Ame, croyais-tu sérieusement que moi, Kage de Yuki, résiderait dans un bâtiment si massif et visible malgré notre couverture neigeuse ? Pauvre fou, je te souhaite seulement de bien faire attention à toi et si tu me cherches, alors trouve-moi ! Signé le Kage de Yuki. "

- Cet homme est redoutable, mais avant de partir il faut que je trouve ce fameux système de détection, je n'arriverai pas seul à trouvé la cachette du Kage.

Laviel fouilla la pièce de fond en comble mais ne trouva qu'une petite parcelle de neige dans un sachet plastique, il ne comprit pas comment cette neige pouvait encore être à l'état solide malgré la chaleur du sachet. Il décida d'emporter ce sachet avec lui puis sortit du village par la voix des airs grâce à une invocation et alla en direction de Ame.